SWEET GYNÉCO 1

Je m'appelle Jorane, j'ai 40 ans tout juste sonné, je possède une immense poitrine que j'adore exhiber et que les hommes ne manquent jamais de remarquer. Je suis une vraie cochonne, peut-être la pire que vous rencontrerez jamais. Aucune limite n'a jamais marqué mon imagination débridée. Quand j'étais aux études, les autres filles me traitaient de pute, de trou humide, de sac à foutre. J'adorais ce traitement car je savais très bien qu'il ne s'agissait-là que de pure jalousie. Elles étaient envieuses de ma poitrine précocement et excessivement développée (je porte du DD), de ma facilité à aborder les garçons et de mes tenues vestimentaires toujours à l'avant-garde de la mode, toujours le plus sexy possible. Côté cul, je suis et je serai toujours capable d'en prendre. J'aime aller dans des clubs échangistes pour m'offrir à plusieurs hommes à la fois. Parfois, je joue l'escorte pour de vieux laiderons riches. J'adore me faire payer très cher pour dominer un monstre d'apparence et d'esprit. Car je sais que les vieux PDG qui désirent ardemment se faire fouetter sont les pires connards dans la vie de tous les jours… ces mecs-là ne se font pas flageller pour la douleur mais pour l'humiliation. C'est drôle à dire mais ça forme à la psychologie de faire de la prostitution. Du coup, tu en viens à te demander ce qui peut bien pousser des hommes, mariés à de très belles femmes, à se faire dominer par une femme de quarante ans… Le démon du midi, c'est pas tout le monde qui le connaît celui-là ! Avant de faire des études pour devenir pilote d'avion et donc pour être dans un monde complètement ou presque masculin (miam), j'allais souvent rendre visite à ma tante que je trouvais particulièrement amusante. Elle me permettait d'étudier avec des mecs de ma classe (ce que mes parents-poules m'interdisaient formellement), pendant qu'elle travaillait à l'étage, où je n'avais pas le droit d'aller. Mais un jour, je décidai de connaître sa profession, peu importe ce que cette folie m'en coûterait. Je pensais à peintre, écrivaine, à femme d'affaires - elle avait de nombreuses visites d'hommes en complet - mais certainement pas à prostituée de luxe. Tout l'étage du haut avait été transformé en paradis sexuel. L'une des chambres était un donjon, dédiée à la domination féminine, mais je n'avais aucun moyen de savoir à quoi servait l'autre car ce jour-là, elle l'occupait avec plusieurs clients. J'entendais la voix de plusieurs hommes lui dire des obscénités vraiment humiliantes, j'avais conscience qu'un lit cognait très fort et très vite contre le mur, je l'entendais déglutir du foutre à travers la porte, reprendre son souffle, avoir la nausée… J'avais déjà fait l'amour avec de jeunes mecs aussi inexpérimentés que moi avant cette découverte surprenante concernant ma tante. Donc au lieu que tout cela me dégoutte, je mis ma main dans ma culotte et je me fis jouir avec comme seul support érotique les sons disgracieux de cette orgie que j'appellerais aujourd'hui, gang bang. Depuis ce temps, je ne faisais plus seulement mettre d'incroyables décolletés, je faisais aussi payer des mecs pour mater mes seins. Je ne le faisais pas pour l'argent, c'était plus pour me sentir comme un objet… Souvent le mec me donnait ce qu'il pouvait, certains m'emmenaient au resto, d'autres ne me payaient pas et m'envoyaient au diable après m'avoir giclé dessus, toujours entre mes immenses melons. Je ne faisais pas ça pour baiser non plus, juste pour les attouchements. Les mecs qui me semblaient encore puceaux, je ne leur permettait pas de me toucher avant quelques visites d'aguichage dans les toilettes. J'aimais les faire languir, les imaginer bander sur une paire de seins qu'ils n'avaient même jamais tenus entre leurs mains. Comme vous le verrez, mon système moral est assez sommaire. La seule chose que je ne puisse supporter, c'est que l'on s'en prenne à des gens innocents, qui n'ont aucun idée des subtilités du sexe hard comme je le connais moi-même. Certaines personnes sont très bien dans leur système moral et ils doivent y être laissés tranquilles. Mon gynécologue était en vacance et c'est un expert beaucoup plus jeune et ô combien plus charmant et sexy qui le remplaçait. C'était un homme beau, au caractère qui, d'emblée, me sembla très impétueux. Ses mouvements étaient bien précis, assez impulsifs, et son regard ne cachait pas la perversité qui semblait l'habiter de façon permanente. En fait, je tombai dès le premier rendez-vous sous le charme de ce jeune loup. Bref, dès ma première visite

» Escort Bastia

LUNDI 22 DéCEMBRE 2014

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