Sur un tabouret

Me voilà assis, nu, sur un tabouret. C'est un gros tabouret avec un dessus de paille très rugueux qui m'érafle les fesses. Il m'a lié les poignets derrière le dos et les chevilles aux pattes arrières, si bien que j'ai les cuisses écartées et que je ne peux pas bouger. Quand je suis entré, il m'a seulement dit de me déshabiller dans la salle de bain et après, il m'a amené ici sans rien dire. Il avait des cordes à la main, il m'a fait signe de m'asseoir, m'a attaché, puis il est ressorti. Maintenant, j'ai tout mon temps pour regarder autour de moi : je suis dans une chambre un peu sombre avec de grands rideaux fermés, des tapis épais. Devant moi, il y a le lit où elle est allongée. Elle ne porte qu'une petite tunique noire transparente. Elle est couchée sur le côté, elle me tourne le dos. Quand il est sorti, elle a tourné un instant la tête, m'a jeté un coup d'oeil, sans s'attarder, rien que pour vérifier que j'étais là. J'ai à peine vu son visage. Elle n'est plus toute jeune, mais elle est pas mal. Un peu le genre de ma femme : un peu rondelette. Et puis, il est revenu, avec l'autre femme, une grande femme un peu sèche avec un imperméable. Elle passe juste derrière moi, sans faire attention. Puis elle s'appuie sur mon épaule, comme si j'étais une commode. Elle parle avec lui, elle doit acheter une pile pour un appareil photo, et elle lui demande où elle va trouver cela. Moi, je ne compte pas plus que la table de nuit. À un moment, elle laisse pendre sa main sur ma poitrine et puis, comme si elle jouait avec le bouton du tiroir, elle prend un de mes tétons entre ses ongles et elle le serre de plus en plus fort, en lui disant : - Je pense que je vais trouver cela chez Forgas, il y a un bon rayon photo. Elle me fait mal ! Je vais crier ! Non je me retiens mais quand elle me lâche, c'est tellement fort que je ne peux m'empêcher de hurler : « Aie !» Elle n'a rien entendu ou du moins elle fait comme si ça n'avait pas d'importance. A-t-elle vu que j'étais vivant ? Elle prend son sac à main sur un meuble et elle sort en disant : - À tout à l'heure ! Je ne sais pas si ça me concerne. Mon téton me brûle, mais ça m'a drôlement excité. Maintenant je suis seul à nouveau avec la femme. Là j'ai tout le temps de voir son dos et ses fesses avec quelques poils qui passent, juste là où le pli des fesses croise la raie. La même couleur que ceux de ma femme. Elle aussi est châtain de par là. Un jour qu'elle était de bonne humeur, elle s'était allongée comme ça devant moi. Je lui avais demandé de se retourner et d'écarter un peu les jambes. Je voyais bien sa toison et sa fente un peu écartée. J'étais adossé à la fenêtre et j'imaginais qu'il y avait un autre homme derrière moi qui la regardait. Je me suis retourné pour voir, mais elle a dû elle aussi y penser et elle s'est cachée. J'avais bien essayé de la rassurer, qu'elle était belle et que j'aimerais bien que d'autres hommes la voient, mais elle n'avait pas répondu. Là, elle sait que je ne la quitte pas des yeux. Elle soulève une jambe et la replie, toujours sans me regarder. Maintenant, je vois bien ses poils et les lèvres de sa fente. Elle fait comme si je n'existais pas mais elle me nargue et s'amuse à m'exciter. Le téléphone sonne. Elle se retourne, se redresse sur un coude. L'appareil est posé à côté de sa tête sur un petit guéridon. Elle prend le combiné : - Oui. Ah, c'est toi… Ça va… Non pas depuis l'autre jour… Pendant ce temps-là, je peux mieux la voir. Elle a une belle poitrine, un peu plus forte que celle de ma femme, et une belle chatte bien dense. - Oui je suis seule… Presque pas… Juste une nuisette… Eh bien je suis allongée sur le lit… Oui, tu crois ? Mais toi, tu es au bureau avec des gens qui peuvent entrer… Tu ne peux rien faire ? Ce serait risqué ? Elle s'est rallongée et elle a posé sa main sur son triangle de poils, puis elle a écarté…

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MERCREDI 21 JUIN 2006

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