Tata jeanne ii

Les jours qui suivirent, nous ne reparlâmes pas de ce moment intime que nous avions partagé. Notre relation était différente, mais nous faisions des efforts de part et d'autres pour ne pas éveiller le moindre soupçons chez mes parents. Pourtant, dès que j'en avait l'occasion, je lui jetait des petits regards chargés de sous entendus. Je m'amusait de la voir rougir, et qu'en j'en avait l'occasion, je laissait la porte de la salle de bain ouverte pour qu'elle puisse me surprendre dans le plus simple appareil. Elle faisait tout pour ne pas rester seule avec moi, et a mon plus grand regret, elle n'enlevait plus le haut pour ses séances de bronzage. Le soir, je me relevait pour l'espionner à travers la serrure de sa chambre pour pouvoir la voir se déshabiller. Nos deux chambres, étaient au deuxième étage, je pouvais donc mater ma tante à loisir sans crainte d'être surpris par mes parents. Avant ce petit dérapage, je venais souvent le soir dans sa chambre pour des discussions interminables, mais depuis, la porte était fermée à clef. Un soir, alors que je m'étais posté comme d'habitude, elle commença à se déshabiller d'une manière plus lente et cette fois devant le miroir. Tout en retirant ses vêtements, elle laissait glisser ses doigts le long de ses courbes. Elle commença à se soupeser les seins puis sensuellement, du bout du major, elle dessinait des cercles autour de ses tétons. Je vis ensuite l'une de ses mains descendre vers son pubis et décrire le même cercle autour de son clitoris. Péniblement, je captait de légers gémissements qui étaient couverts par les miens car je ne voulut pour rien au monde louper une occasion de me masturber en même temps que ma chère Tante… Soudain, elle interrompis son doux balais pour se diriger vers la commode dont elle retira du premier tiroir un magnifique gode qui me fit éjaculer dans mon slip sans aucun délais. Impatient de voir la suite, je ne débandait pas. Mais grande fut ma déception lorsque Jeanne se coucha avec son instrument de plaisir et éteignit la lumière. Je retourna donc dans ma chambre et il fallut encore deux autres éjaculations pour que je puisse trouver le sommeil. Le lendemain matin, au petit déjeuner, je continuait mes petits regards discrets qui aujourd'hui gênait encore d'avantage ma chère petite Tatan. Mon petit jeu fut interrompu par ma mère qui s'adressant à ma tante lui demanda de s'occuper de Louis cet après midi car elle devait faire des courses avec papa. « Tu sais Jeanne, il s'ennuis beaucoup, ce serait bien qu'avec Simon, vous lui trouviez des occupations. » Louis dormais encore et j'étais très excité à l'idée de me retrouver avec Jeanne cet après midi. Jeanne accepta tout de suite pour ne pas éveiller le moindre soupçon. Apres le déjeuner, les parents partirent et nous commençâmes à jouer tout les trois. Au bout de quelques jeux, l'ambiance s'était détendue, je ne lançais plus de regards et Jeanne semblait redevenir comme avant ; nous rigolions tout les trois comme avant. Lassé de jouer à saute moutons. Louis voulut jouer aux cow-boys et aux indiens. Surtout que mes parents venaient de lui offrir une panoplie de chef indien qui ne demandait qu'a être baptisée. Cette idée fut bien accueillie et Jeanne suggéra que s'était une bonne occasion pour nous déguiser. Comme Louis voulait toujours être avec moi, je fut engagé comme indien et Jeanne se retrouva en jolie cow-boys : elle avait mis une jupe longue, des bottes, une chemise en jean à mon père et un vieux chapeau en paille. Nous avions décrété qu'elle devait cacher ses trésors dans tout le jardin et que nous devions la capturer pour obtenir le fameux trésor qui était matérialisé par le goûter de Louis. Apres une interminable poursuite. Louis réussis à capturer son ennemis juré et je l'aida à l'attacher solidement au totem qui était le lit à barreaux de ma tante. Puis. Louis m'ordonna comme tout grand chef, de m'occuper de torturer le prisonnier pendant qu'il chercherait le trésor. Il partit donc et me laissa avec ma belle prisonnière. Je commença par la chatouiller mais elle refusait de parler. Je continua un peu les chatouillements car ils me permettait de laisser mes mains se balader sur sa belle poitrine. Puis, je lui lança d'un air menaçant, qui collait tout à fait avec mon personnage, « Je vais être obliger de te poignarder ! » « Mais tu n'as pas de couteau idiot » me dit elle en rigolant. Je me leva du lit et sous ses yeux, j'ouvris…

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JEUDI 14 SEPTEMBRE 2006

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