SUR UN TERRAIN VAGUE

Ce jour-là, j'étais vraiment sorti avec la ferme intention de m'en prendre plein le cul. J'étais complètement en rut. Mes examens à la fac venaient de se terminer. Plus d'un mois à bosser comme un dingue, enfermé chez moi à potasser mes cours. Je m'étais contenté de quelques petites branlettes et de me bourrer le cul avec mon gode. Mais maintenant que j'avais réussi ma troisième année de médecine, il me fallait une queue, une belle bite pour me soulager. Une et même plusieurs. J'ai 23 ans, je suis châtain clair, pas très grand, seulement 1 mètre 70 pour 61 kilos mais très mignon. J'ai une gueule qui plaît et un joli petit cul, rond et ferme avec une queue de 17cm. Je ne suis pas très poilu, presque imberbe sur le torse et depuis quelques mois, j'ai pris l'habitude de me raser entre les fesses pour garder ma pastille brune bien lisse. Je viens d'une famille assez bourgeoise. Mon père est médecin, ma mère, sage-femme. Malgré l'éducation que j'ai reçue, je ne suis attiré que par des plans de baise très hard et même crade. Je ne vais pas jusqu'au truc scato mais j'aime, par exemple, qu'on me pisse dessus, qu'on se montre très cru avec moi. Je ne bande jamais autant que lorsque je sens que le mec qui est avec moi se laisse aller sans retenue. Pour en revenir à mon histoire, c'est sur la terrasse d'un des petits bars du port de l'Estaque, à Marseille, que j'ai rencontré Laurent et Kader. Ce bar est fréquenté par quelques homos des quartiers Nord. C'était en Mai, il faisait déjà très chaud. Je portais juste un tee-shirt blanc et un jean sans slip. C'est Laurent qui est venu me brancher, un beau mâle brun avec les bras couverts de plusieurs tatouages. Un mec, dans les 25 ans, une petit gueule de loubard mais bien foutu avec la peau mate et un débardeur qui laissait deviner un torse puissant et velu. Il a été direct avec moi, me proposant d'emblée une partie à trois. Puis, il a fait signe à Kader de venir nous rejoindre à ma table. Kader était plus mince que Laurent avec un corps aux muscles fins et déliés. Une belle gueule, lui aussi. Les choses se déroulent très vite. Quand Laurent me pose la question : - T'aimes quoi au pieu ? Je lui réponds : - On peut tout me faire. Je suis complètement soumis. Ils ont un coin pour baiser. Ce n'est pas très loin, en remontant de L'Estaque vers les quartiers Nord. On quitte le bar et je les suis, la queue déjà raide sous mon froc avec une furieuse envie de me faire défoncer. Après avoir traversé plusieurs ruelles étroites, ils m'entraînent sur un terrain vague qui surplombe la mer. Les premières grandes citées H. L. M. ne sont pas très loin. Des carcasses de voitures, des vieilles machines à laver, des cadres de vélo et d'autres détritus sont éparpillés sur ce terrain vague. Au fond, se trouve une bâtisse en briques rouges à demi en ruine. C'est ça, leur coin ! Une ancienne usine désaffectée. On se retrouve dans une pièce à l'étage, les murs sont couverts de graffitis et de quelques dessins obscènes avec un vieux matelas qui traîne sur le sol. Laurent me lance en riant : - C'est pas l'hôtel Ibis, mec, mais pour se vider les burnes, ça suffira. On se fout à poil. Kader est le premier à m'exhiber sa trique, un engin très épais avec le gland circoncis. Son manche se tient bien à la verticale sur son ventre, érigé au milieu d'une petite touffe de poils noirs et frisés. Ses couilles sont bien rondes, assez grosses avec la peau fripée. La tige de Laurent est différente, plus fine mais plus longue, pas loin de 20 centimètres. Lui aussi, il est raide comme un piquet : - Allez, à genoux, mec ! Montre-nous si tu es bon pour les pipes. Je m'agenouille sur le matelas et ils viennent tous les deux se poster debout devant moi, tenant leur pine dans leurs doigts. Laurent tire à fond sur la peau de son prépuce pour bien faire saillir son gland. Les deux queues sont propres mais sentent assez fort. Ces odeurs ne me dérangent pas, bien au contraire. J'aime bien une pine qui sente la pine. J'empoigne leur teub et je les branle tout en commençant à donner des petits coups de langue sur les glands. Je suis déjà

» rencontres à Rambouillet

MARDI 27 OCTOBRE 2009

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