Tramping néo-zélandais

Les Néo-zélandais sont des gens qui aiment faire des treks dans la nature, c'est un sport national là-bas, ils nomment ce sport le « tramping ». Ils disent que c'est une façon de s'évader, moi je crois plutôt que c'est un bon moyen de se retrouver seul avec des femelles. Je me devais donc, lors de mon récent voyage là-bas, d'essayer ce sport. Je logeais chez une amie de la famille. Elle avait la quarantaine mais était très bien conservée pour son âge. On pouvait sentir les heures de sport en voyant son fessier dur comme un ballon de volley-ball et son ventre plat qui laissait deviner une plaque de chocolat suisse. C'est elle qui me proposa de l'accompagner pour faire une promenade de deux jours dans un parc national, tout près de chez elle. J'acceptai en me disant que ce serait plus facile si je faisais ça avec quelqu'un qui connaissait bien les lieux et qui avait beaucoup d'expérience en la matière. Elle avait déjà préparé tout le nécessaire pour l'aventure ; la nourriture, la tente et même quelques boissons fortes. On partit de bonne heure. Quand nous marchions, elle se trouvait souvent devant moi, laissant mes yeux se poser sur ses deux fesses qui se contractaient à chaque pas, j'en oubliais presque de contempler la nature. On ne croisa personne, à part quelques oiseaux. La nature était très belle, il y avait toutes sortes de plantes et d'arbres magnifiques. Après plusieurs heures de marche soutenue, on s'arrêta dans une clairière et elle proposa de s'installer à cet endroit pour la nuit. Apparemment, beaucoup de gens devaient connaître cet endroit, car il y avait des traces de feux de camp. On monta la tente minuscule et on alluma un feu. On passa la soirée à discuter et à boire son alcool dégueulasse mais très fort. Il me fit vite tourner la tête. Nos discussions tournaient surtout autour du sexe. Elle me raconta un peu ses aventures quand elle était jeune et m'avoua qu'elle avait un penchant pour les garçons de mon âge. J'interprétai ça comme une avance. J'avais toujours voulu essayer une femme mûre et celle-là était pas mal du tout. Rien que d'y penser, je bandais déjà dans mon pantalon. Je fis semblant d'être fatigué et lui suggérai d'aller nous coucher. On s'installa dans la tente qui avait à peine assez de place pour deux. Sans pudeur, elle se déshabilla devant moi, ne laissant que sa petite culotte, et se glissa dans son sac de couchage. Je fis de même. Je crois qu'elle a remarqué à ce moment l'état de mon membre, car je la vis faire un petit sourire du coin de la lèvre. Elle éteignit la lampe de poche. Et rien. Elle ne faisait rien. Je restais planté à côté sans bouger, mais j'avais vraiment envie de la baiser. J'attendais qu'elle fasse le premier pas, car elle était plus âgée. Ne trouvant aucune idée d'approche, je me mis sur mes genoux et fis semblant de vouloir aller faire mes besoins. Je lui demandai la lampe de poche. Elle la prit et l'alluma. Elle me visa avec et elle put voir mon sexe tendu dans mon caleçon. - Qu'est-ce qui t'arrive ? Me demanda-t-elle. Je ne répondis pas et la regardai dans les yeux d'un air un peu désespéré. Elle visa mon caleçon avec sa lampe et approcha sa tête. Elle sortit consciencieusement mon sexe et l'observa avec curiosité et intérêt. Elle le lécha de bas en haut avec le bout de sa langue et caressa mes couilles avec ses doigts d'experte. Je me sentais soulagé. Elle sortit complètement de son sac de couchage et vint s'enfiler dans le mien. On se blottit l'un contre l'autre. Elle glissa ses mains vers le bas et me masturba gracieusement avec ses deux mains. Je pouvais vraiment sentir les années d'expérience derrière tout ça. Je m'occupai en lui suçant les tétons. Ses seins pendouillaient un peu, mais elle avait de gros tétons qui avaient nourri déjà plus d'une personne. Soudain, elle me demanda : - Tu as envie de me baiser ? J'acquiesçai. Elle se retourna et enleva sa culotte. - Viens, tu peux me pénétrer… J'avançai timidement ma queue contre son cul. Elle vit que je n'osais pas vraiment, alors elle me prit par la queue et la dirigea directement dans sa chatte. Je me mis à remuer doucement. Ça ne devait pas suffire pour elle, elle bougeait son bassin énergiquement, pour que je la pénètre plus profondément.…

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MERCREDI 2 AOûT 2006

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