TRIO SURPRISE 1

Le petit bistro cossu où je fais mon entrée en ce vendredi soir est rempli de gens chics… On dirait presque le QG de la mafia italienne. Des mélodies de jazz ravissent les oreilles des vieux dandys qui fument cigares et cigarillos, les jambes croisées, en parlant principalement de finances, de golf et de voitures de collection. Ici, je m'ennuie à mourir mais je dois attendre Sandra, une des serveuses sexy de la place, pour la ramener chez elle et, qui sait, me la faire ensuite. Je porte mon regard à ma montre, il est déjà vingt heures. Je soupire en me levant et je m'éloigne de ma table d'un pas lent. Au moment de pousser la porte des toilettes, je me fais discret pour mieux écouter les gémissements que j'ai vaguement entendus avant d'entrer. Je crois reconnaître la voix de Sandra, je cogne à la porte : - Sandra, je sais que c'est toi, ouvre-moi s'il te plait, lui demande-je poliment. Les gémissements s'arrêtent et la porte s'ouvre, dévoilant mon amante prise en levrette par un bel inconnu. Ce dernier, sur un ton léger, me dit : - Entre ou sort, mais ferme cette putain de porte… Je me ressaisis et je referme la porte derrière moi en tournant aussitôt mon regard vers le cul lisse du joli châtain. Je me risque à effleurer le côté de sa fesse, là où il y a un joli petit creux. Je m'approche de lui par-derrière sans le toucher et je déniche le nibard gauche de Sandra. En effleurant légèrement le dos du mec au cul d'enfer, je cherche de l'autre main le clitoris de Sandra, bien dissimulé derrière ses lèvres charnues. Je me garde bien, pour l'instant, de peloter le mec que j'ai de plus en plus envie de limer en profondeur. Ses coups de reins augmentent et je crois qu'il fait exprès pour cogner son cul sur ma queue qui gonfle déjà dans mon pantalon. J'enlève celui-ci soudainement pour qu'il sente enfin l'effet qu'il produit sur moi et mon puissant soldat. Ma tige est tellement triquée qu'elle s'imbrique parfaitement dans la raie de l'inconnu. À défaut de pouvoir lui trouer l'anus maintenant, je suis plutôt les mouvements de va-et-vient qu'il effectue dans la fente de Sandra afin qu'il sente mon bâton lui effleurer la raie et lui forcer un peu son trou de balle. Maintenant qu'il pousse un grognement à chacun de nos contacts, je pousse plus loin l'audace en m'agenouillant derrière lui. Chaque fois qu'il retire son sexe tendu du vagin de Sandra, je gratifie sa superbe raie velue de petits coups de langue aguichants. Lorsque celle-ci est bien luisante de salive, je me relève et j'attends qu'il s'empale lui-même sur mon membre. La sensation est formidable. Sans me prêter vraiment attention, il s'installe sur le plancher, toujours dans la position de la levrette, où je m'agenouille à sa suite. Je tiens ma queue à l'horizontale et je la pointe vers son petit trou rose et poilu en hasardant mes doigts sur ses tétons raides et sur sa tendre nuque. Ce dernier prend tout son temps pour faire entrer ma queue dans son anus, et pour la sortir complètement afin de s'empaler toujours un peu plus sur mon manche. À un moment, il arrête de bouger et je comprends qu'il veut se faire défoncer solidement. Je m'appuie sur mes mains afin de pouvoir le troncher très fort, au point que mes cuisses claquent contre les siennes et que mes couilles tapent sur les siennes, et le limer profondément, au point que mon poil pubien se mêle à la toison de son cul. Une profusion de foutre s'échappe bientôt de mon membre, lorsque mon petit enculé se vide en Sandra. Je tambourine alors sa rondelle à l'aide de ma queue dégoulinante de foutre, la pénétrant encore à quelques ultimes reprises. Lorsque nous sortons enfin des toilettes, nous remarquons avec mauvaise humeur que la salle est bondée. Ne trouvant pas de tables pouvant nous accueillir tous les trois, nous sortons prendre l'air. Je m'apprête à héler un taxi pour retourner chez moi mais l'inconnu me prend par le bras et m'amène à l'écart pour me chuchoter quelque chose qui me fait sourire. Puis, nous nous engouffrons tous les trois dans le premier taxi en vue ! Lorsque nous arrivons chez moi, un modeste mais très joli studio en ville, je tends une pile de vêtements à l'inconnu qui s'appelle, semble-t-il. Carl. Je lui désigne les toilettes et j'entraîne Sandra dans ma chambre. En fouillant

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MERCREDI 10 DéCEMBRE 2014

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