JE TROMPE MON MARI RÉGULIÈREMEN...

Oui, je sais ! Les esprits moralistes trouveront mon attitude scandaleuse. Quand on aime un homme, on ne doit désirer que lui, parait-il… J'ai essayé pendant plusieurs années de mener la vie d'une épouse fidèle et puis, un beau jour, j'ai craqué. J'ai craqué parce qu'il était beau, parce que j'avais envie de lui (très envie). J'ai craqué aussi parce que Michel, mon mari, me faisait l'amour sans fantaisie depuis plusieurs mois, des étreintes rapides et souvent bâclées. Je le voyais beaucoup plus attentif à réussir sa carrière professionnelle que soucieux de moi. C'était du stress permanent, de la fatigue, des heures passées le week-end à étudier ses dossiers. Je ne cherche ni à me déculpabiliser ni à porter tous les torts sur lui. C'est vrai que j'ai un esprit volage, que je l'ai toujours eu. J'aime les hommes, tout simplement. J'aime découvrir leur corps, leur manière de faire l'amour, leurs petits vices secrets. On pourra toujours me répondre : alors pourquoi me suis-je mariée ? Je n'avais qu'à rester seule pour rencontrer qui je voulais. J'aime mon mari et je suis très attachée à lui malgré mon insatisfaction sexuelle dans nos rapports. Pour moi, la situation idéale aurait été que nous formions un couple échangiste. Je n'aurais pas eu à mentir, à me cacher et à le tromper de manière régulière. Lui aussi aurait pu faire l'amour avec d'autres femmes. Après tout, pourquoi devrait-on s'interdire, une fois mariées, de désirer d'autres personnes que son partenaire légal ? Et si le cas se produit, pourquoi devrait-on se refuser de passer à l'acte ? Je crois, pour ma part, que ceux qui refusent de l'admettre sont des hypocrites. Le fait de coucher avec d'autres hommes ne change en rien toute l'affection que j'éprouve pour Michel. Ce que je vis avec les autres est purement physique. J'ai entendu dire aussi qu'une femme donnait plus à son amant qu'à son mari. C'est un peu vrai car justement, la relation est très différente. On se sent plus gênée avec quelqu'un que l'on connaît très bien et que l'on aime. Il y a une retenue naturelle, une certaine pudeur due aux sentiments partagés. Alors qu'avec un homme qu'on ne rencontrera qu'une ou quelques fois, c'est beaucoup plus facile de se laisser aller. C'est ce qui me plaît beaucoup dans ces rendez-vous sans lendemain. On se voit uniquement pour ce qu'on a envie de faire ensemble. Quand on se quitte, seuls restent les sensations éprouvées. Depuis six ans, j'ai rencontré beaucoup d'hommes. J'en ai connu de tous les milieux, de tous les âges. Pour faire des rencontres, j'utilise surtout mon Minitel. Généralement, je préfère choisir des partenaires qui sont mariés, eux-aussi. Comme moi, ils sont à la recherche de relations discrètes et passagères. Je cours moins le risque de quelqu'un qui chercherait à s'accrocher et tenterait de savoir qui je suis vraiment et où j'habite. C'est ainsi que, il y a quelques jours, j'ai fait la connaissance de Jacques, un médecin marié de 48 ans. Il possédait une petite chambre de bonne, juste au-dessus de son cabinet, un boudoir qu'il n'utilisait rien que pour recevoir ses maîtresses. C'est là qu'il m'a reçue après un rendez-vous dans un bar. Cela m'a beaucoup excitée de songer que ce lieu était réservé exclusivement au sexe et au plaisir, de savoir aussi que sur le lit, des tas d'autres femmes étaient passées avant moi et s'étaient données à ce médecin. Il était bel homme et n'avait sans doute aucun problème pour multiplier les expériences. J'ai beaucoup aimé son petit côté dominateur, sa manière de me diriger et de me soumettre autoritairement à ses envies. J'avais la sensation de n'être qu'un objet de plaisir pour lui et cela suffisait à me faire mouiller comme une folle. Après un petit temps d'observation où il se montrait assez réservé avec moi, il a commencé à se laisser aller, aussi bien dans ses actes que dans ses paroles. J'adore quand les hommes n'ont plus de retenue avec moi. J'étais assise et nue sur le bord de son lit et il m'obligeait à prendre sa queue tout au fond de ma bouche, à l'avaler complètement. C'était un sexe assez épais érigé au milieu d'une forêt de poils noirs. Pendant que je le suçais. Jacques pétrissait mes seins sans aucune douceur. Il tirait et pinçait les pointes, la tête penchée vers moi pour regarder ma bouche avaler son sexe. Il me guidait, m'ordonnait de lécher ses bourses velues, d'enrouler ma langue autour de son gland et de…

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JEUDI 10 JUILLET 2008

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