Cet été, ma femme et moi sommes allés en vacances dans un complexe touristique des Caraïbes. Un après-midi, fatiguée, mon épouse est restée à l'hôtel tandis que j'allais faire un tour le long de la plage. Je m'éloignai des abords fréquentés de l'hôtel et atteignis une anse où quelques hommes seulement, des visiteurs comme moi, allaient et venaient. Je remarquai à l'orée de la végétation une jeune femme qui semblait me faire signe. Je la détaillai : métisse aux cheveux longs, elle prenait apparemment le soleil, seins nus. Intrigué, je la rejoignis. Elle me sourit et me désigna un bout de sa serviette bleue pour m'asseoir. La conversation n'était pas aisée : français et anglais pour moi, espagnol pour elle. Je finis par comprendre qu'elle était coiffeuse et souhaitait partager mes vacances. C'était ce qu'on appelle là-bas une «jinetera», accompagnatrice de touristes, souvent étudiante ou chômeuse, parfois femme au foyer. J'expliquai à grand peine que je n'étais pas seul. Ma femme m'attendait à l'hôtel. C'était impossible Philosophe, mon interlocutrice n'insista pas mais me conduisit dans le sous-bois qui bordait le littoral. Masquée par des branchages, s'y trouvait une autre jeune femme, dans une espèce de petit campement. Ma cavalière fit les présentations et regagna la plage. Son amie était magnifique. Hélas, nous rencontrions toujours les mêmes difficultés de conversation. Aussi fîmes-nous simplement ce qu'on fait dans ces cas-là : nous nous mîmes nus. Ses sous-vêtements laissaient sur sa peau des traces plus claires. Ses seins étaient prodigieux de vitalité et d'arrogance. Je me serais satisfait de les caresser mais la jeune femme craignait mes gestes. Elle s'allongea sur une serviette de bain et me fit signe de venir sur elle. J'hésitai. Alors, elle inversa les rôles : elle m'allongea sur la serviette et s'accroupit sur moi avec légèreté et souplesse. Les lèvres de son sexe étaient très développées et ses seins, face à moi, me subjuguaient. J'entendis sa copine qui discutait avec un homme. Elle héla mon amoureuse qui lui répondit en riant des mots d'espagnol que je ne compris pas. Je parvins à desserrer l'étreinte de la jeune femme pour la convertir à mon véritable désir : je l'embrassai en lui caressant les seins tandis qu'elle me masturbait lentement. Je ne tardai pas à prendre un violent plaisir entre ses mains. Quelques instants plus tard, je quittai les deux jeunes femmes pour regagner l'hôtel. Le lendemain, alors que ma femme et moi assistions à un spectacle de danse folklorique à l'hôtel, la «jinetera» de la plage passa plusieurs fois devant notre table. Mon épouse me la montra, ajoutant : «Regarde cette fille, comme elle est belle !» J'admirai, tout en perçant le manège de la jeune femme : de notre table, elle se dirigeait à chaque fois vers les toilettes. C'était une invitation discrète Mais ma femme n'était pas encore tout à fait prête pour ce genre d'aventure libertine
VENDREDI 12 OCTOBRE 2007
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