LA VIE DE CAMPAGNE

J'ai un petit copain. Jimmy. Nous fêtons aujourd'hui nos cinq années de vie de couple, cinq années de bonheur. Dire qu'avant de le rencontrer, je ne croyais pas que cela pouvait m'arriver. Je peux dire que je suis finalement heureux Je n'ai aucun doute aujourd'hui que notre couple est fait pour durer. Pour le week-end. Jimmy m'a invité à aller dans son bled perdu rencontrer sa famille que je n'ai encore jamais vue. Ses parents sont assez conservateurs et nous pointer comme cela dans un village de 853 habitants est encore mal vu, même à notre époque. ( Pour ce qui est du nombre d'habitants, c'est écrit sur l'affiche à l'entrée du village et à ce que dit Jimmy, elle n'a jamais changé depuis qu'il est tout petit, à croire que le nombre de décès est proportionnel au nombre de naissances ). Je crois que les préjugés sont toujours bien présents dans certains villages, même si toutes les rumeurs disent qu'une fois bourrés, tous les mecs hétéros se taillent des pipes entre eux, compte tenu que souvent le nombre d'hommes dans ces patelins est plus élevé que le nombre de filles. J'adore m'imaginer que c'est vrai… Nous partons vendredi après le boulot, nous roulons de longues heures sur des autoroutes pour ensuite emprunter des petits chemins campagnards. Il est tard dans la soirée lorsque nous arrivons finalement chez ses parents qui nous ont préparé deux chambres séparées. Comme s'ils croyaient que nous nous allions rester tranquillement chacun de son côté et que nous n'allions pas rejoindre l'autre pendant la nuit En moins de quatre heures, je découvre de fond en large ce qu'est la vraie vie de campagne. Comme première soirée, je trouve cela assez déprimant, car je suis assis entre mon copain et ma belle-mère et j'ai le droit à une description de tous les albums photos de souvenirs. Et je vous dis qu'il y en a plusieurs Ses parents sont vraiment des maniaques de l'appareil photo… - Tu savais que Jimmy est allé au États-Unis dans un échange scolaire ? - Tu savais que Jimmy pesait 4 kilos à la naissance et qu'il avait les cheveux Blablabla, ça y'est, je suis en train de penser à ce que je vais manger au boulot à mon retour dans la civilisation lundi - Hugo, est-ce que tu savais ? - Non. Jimmy ne m'avait pas raconté ça (et ce n'est pas pour rien non plus) Le week-end sera interminable, car la soirée est déjà trop longue Viens l'heure où sa mère est épuisée de parler, quelle sensation de satisfaction, c'est le silence complet. Aucun bruit dans la maison et aucun bruit à l'extérieur. Il n'y a que des champs agricoles aux alentours. Nous rejoignons alors nos chambres respectives pour une longue nuit de sommeil… Tandis que je suis seul dans la mienne, je pense à la baise que nous avons eu dans la voiture en direction de ce bled perdu, je repense à la pipe que Jimmy me faisait lorsque j'étais assis sur le capot brûlant de la voiture. Je descends alors ma main entre mes cuisses, car je sens le sang gonfler mon pénis d'excitation. J'empoigne ma verge, je la caresse doucement en me rappelant comment mon mec sait me faire gueuler de plaisir. Je me masturbe de plus en plus rapidement, car je ne veux quand même pas y passer la nuit. Disons que j'ai assez d'images qui traversent mon esprit pour me faire gicler rapidement. D'un autre côté, je ne me sens aucunement mal de faire cela dans la chambre d'invités de mes beaux-parents, jusqu'au moment où j'entends un craquement. Je me dis que c'est le genre de bruits que tu entends normalement dans la plupart des vieilles maisons. Mais non, c'est plus que cela, car la poignée de la porte tourne doucement. J'essaie de cacher mon érection avec mes deux mains, mais mon pénis fait une tente sous la couverture. Je suis pris au piège… La porte s'ouvre. Je suis heureux, car ce n'est que mon copain qui arrive et qui vient me rejoindre avec son téléphone cellulaire dans les mains. - J'ai mis un alarme sur mon portable qui est sur vibration, nous pouvons dormir en paix et avant même que mes parents ne se réveillent, j'aurai déjà rejoins ma chambre Il remarque alors mon érection et il devine ce que j'étais en train de faire. Et oui, je me masturbais ! Il prend mon pénis dans sa main et il continue à faire ce qui me donnait des spasmes dans tout

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VENDREDI 9 SEPTEMBRE 2011

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