La vieille fille 1

Ce qui suit s'est passé alors que j'étais adolescent, en ce temps là, je m'étais crée un petit nid douillet dans le galetas de l'immeuble où mes parents habitaient. Je n'étais d'ailleurs pas le seul à habiter une des pièces qui servait de galetas, deux autres filles un peu plus âgées que moi y avait aussi élu domicile. De temps à autre, j'entendais passer des personnes devant ma porte, le couloir menant à ma chambre était aussi un passage entre deux immeubles. C'est comme ça que je sus qu'une des filles du voisin, elle avait environ 33 ans, une vieille fille, passait régulièrement devant ma porte pour se rendre dans son appartement. C'est vrai que ce n'était pas un canon mais elle était bien proportionnée, une poitrine moyenne que je devinais ferme, des jambes fines et longues (elle ne portait exclusivement que des robes) une taille mince, un joli sourire malgré tout et petit détail, des lunettes lui conférant un air d'institutrice. Sans oublier ces robes qui dataient volontairement d'un autre âge ainsi que des chaussures à hauts talons. C'est ainsi que je commençais peu à peu à fantasmer sur cette femme de 18 ans mon aînée. Un jour, alors que je sortais de ma chambre, vêtu juste d'un caleçon (j'allais au toilette situé en face de ma chambre) je me trouvai nez à nez avec elle, quasiment dans ses jupons, trébuchant sur elle, je l'entraînai dans ma chute. Tout en m'excusant du mieux que je pouvais, je remarquai que sa jupe était remontée aux niveaux de l'aine, dévoilant ses superbes jambes nues, finement recouvertes par un collant couleur chair, légèrement brillant. Remarquant mon regard hypnotisé par ses jambes, elle eut vite fait de redescendre son vêtement. Essayant tant bien que mal de se relever (elle était un peu groggy, sa tête ayant frappé le sol) elle tendit sa main afin de trouver quelque chose pour se hisser et la première chose qu'elle agrippa fût mon caleçon, qu'elle tira avec force. En moins de 2 secondes, je fus donc nu comme un ver. Réalisant son geste, elle retira prestement sa main, se relevant cette fois ci d'un bond, elle balbutia, me demandant de me retourner (décidément, elle était vraiment vieille fille). Malgré toutes ces émotions, une idée me traversa l'esprit et même sans réfléchir, je restai tourné vers elle. - Madame, commençai-je par dire, vous venez de me voir dans le plus simple appareil et pour y arriver, vous m'avez sauvagement arraché mon caleçon, or je suis mineur (ce que je n'étais pas vraiment puisque j'avais 18 ans bien sonné) et vous savez comme moi que c'est punissable par la loi. Elle protesta énergiquement, m'expliquant qu'il s'agissait d'un pur accident et qu'elle ne comprenait pas mon attitude. Je lui répondit du tac au tac que si elle ne faisait pas tout ce que je voulais, je dirais tout à mes parents, lesquels, porterait sûrement plainte pour agression sur mineur… Je vis une d'abord une lueur de stupeur dans ses yeux devant tant d'audace, puis une certaine résignation. Je profitai de cet instant de supériorité, pour lui expliquer ce que je voulais. Je lui demandai dans un premier temps de me suivre dans ma chambre. Elle hésita, puis franchit la porte de ma chambre que je refermai derrière elle. Il n'y avait qu'un seul grand lit, une table de nuit ainsi qu'une télé. Elle resta tout d'abord debout, moi pendant ce temps, j'étais redescendu dans l'appartement de mes parents chercher, dans un premier temps un nouveau caleçon, et un catalogue de lingerie, un de ces catalogues de vente par correspondance. Je remontai encore plus vite que je n'étais descendu, grisé par cette situation. En rentrant dans la chambre, je la trouvai toujours debout et lui intimai l'ordre de s'asseoir. Elle fit bien attention en s'asseyant de serrer au maximum ses genoux afin de ne rien dévoiler que je n'avais déjà vu. Moi pour ma part, je me mis en face d'elle, par terre. Mon lit étant à même le sol, elle était dans une position assez inconfortable. La regardant dans les yeux, je lui demandai gentiment d'écarter un peu ses jambes, évidemment, elle refusa. Je lui rappelai mes menaces, ce qui la fit s'exécuter. Tout lentement, elle ouvra ses jambes. Je vis la démarcation de son bas puis ensuite une chaste culotte que je devinai en satin, de couleur blanche. Immédiatement, j'eus une érection d'enfer, ce qui fit tendre mon caleçon, elle remarqua mon excitation et détourna son regard. D'une main hasardeuse et…

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LUNDI 26 DéCEMBRE 2005

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