La vieille fille 2

Le lendemain, comme prévu, elle vint toquer à la porte de ma chambre, vêtue comme je le lui avais demandé, soit un tailleur strict, de couleurs anthracite. Je lui demandai d'ouvrir un peu sa longue jupe portefeuille et constatai qu'elle portait bien le jupon en satin blanc ainsi que des bas gris clair, soutenus par un porte-jarretelles blanc, lui aussi en satin. Sous sa veste, une blouse blanche vaporeuse finissait de l'habiller sans oublier de superbes hauts talons. - Que veux-tu faire de moi aujourd'hui, me questionna-t-elle ? - Auriez-vous pris goût à mes petits jeux, lui répondis-je. - Ais-je le choix ? Apparemment non, donc je me soumets à ta volonté mais fais attention, viendra un jour où tu ne pourras plus ! Surpris par tant d'assurance, je lui rétorquai qu'aujourd'hui, nous allions sortir. Dans un quartier éloigné du mien, se trouvait un cinéma porno, ouvrant en début d'après-midi et fermant très tard le soir. Encore une fois, j'avais une petite idée derrière la tête. - Nous allons au cinéma, j'ai envie de voir un film ! C'est seulement à l'entrée du cinéma qu'elle comprit quel genre de film nous allions voir. - Non, jamais me dit-elle, c'est un lieu de perdition où traîne toute la racaille, de plus tu n'as pas l'âge ! Elle ignorait toujours que j'avais 18 ans et on me fit entrer sans problème. La salle, était parsemé de couples mais plus majoritairement par des hommes, jeunes ou plus âgés. Je lui indiquai un siège de libre situé assez en avant (les sièges en questions était conçus pour deux personnes). Je voulais que l'on nous voit. À l'écran se déroulait une scène de fellation prodiguée par une bouche experte. Ma compagne, elle, détournait les yeux de ce spectacle, pourtant très excitant. Moi de mon côté, j'avais posé mon bras autour de ses épaules et de l'autre main, je défis mon pantalon, choisi assez ample pour y passer une main. - Masturbe-moi lui dis-je, sachant qu'elle n'avait pas le choix. Elle avança une main tremblante près de mon membre palpitant, le saisit et commença alors un lent va-et-vient érigeant d'autant plus mon sexe déjà bien dressé. Entre temps, un homme et une très jeune femme prirent place sur le siège juste à côté de nous, lui la quarantaine, cheveux poivre sel, elle, brune, pas beaucoup plus que 18 ans, une bouche pulpeuse et de longues jambes jaillissant d'une minijupe écossaise, genre écolière. Elle se pencha vers moi et me chuchota à l'oreille. - Est-ce que cela vous dérangerait que mon père aille s'asseoir à côté de votre compagne ? Je trouvai toute suite l'idée à mon goût et lui répondit par l'affirmative. Il se leva et se plaça donc à côté de ma compagne, qui se retrouva de ce fait entourée par deux hommes. Je vis dans Ses yeux une étincelle de panique et elle voulu se lever, je la retint. Elle me dit qu'elle ne voulait pas que cet homme la touche, qu'il était totalement exclu que l'on reste une minute de plus dans cet endroit… Elle ne termina pas sa phrase, tétanisée. Je compris en regardant en direction de l'homme, il venait de poser sa main sur sa jambe. - Enlever votre culotte lui demandai-je. - Non, je ne veux pas. - Vous devez obéir, faites-le ! Elle se souleva, fis glisser sa petit culotte et me la donna. Je la portai à mon nez et humai à pleins poumons. Elle sentait bon, délicatement parfumée et à ma grande surprise était aussi humide… - Maintenant, écarter vos jambes… - Elle s'exécuta, lentement mais sûrement, ouvrit ses cuisses, laissant ainsi le libre passage jusqu'à son sexe. De mon côté, la jeune femme, regardait avec grand intérêt mon sexe resté en érection, nos yeux se croisèrent et tout naturellement, elle se pencha vers moi, m'embrassa à pleine bouche. Je lui rendit son baiser. Sa main s'activait déjà autour de mon membre, au bout de quelques instants, ce fût sa délicieuse bouche qui prit le relais. Mon sexe, pourtant de belle taille, se retrouva entièrement engloutit. À l'aide de ma main, je lui imprimai doucement le rythme et modulai sa fellation, alternant succions et massage de mes testicules, divin… J'en oubliai presque la présence de ma compagne. Jetant un regard dans sa direction, je la vis, les yeux mis clos, jambes grandes ouvertes, la main du père de la jeune femme s'activant calmement, des caresses expertes qui faisaient frissonner ma compagne, l'intérieur de ces cuisses luisait de sa…

» rencontres ?  Frévent

MERCREDI 28 DéCEMBRE 2005

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