La vieille fille 3

Je décidai de laisser passer quelques jours avant de la rappeler, peut-être était-ce trop pour elle, mais loin de baisser les bras, (je ne l'avais toujours pas sauté), j'échafaudai un nouveau plan. Une semaine s'était écoulée avant que je la rappelle, elle me répondit au bout de quelques sonneries. - Bonjour, comment allez-vous depuis notre dernière rencontre ? - Si tu crois que je vais de nouveau céder à tes petits chantages, tu te trompes, je vais aller voir la police et tout lui raconter, et tu verras qui aura des problèmes ! Sur le coup, je n'en menais pas large et je dus faire un effort surhumain pour contenir l'affolement qui me gagnait. Je réussis tout de même à lui dire que je voulais lui présenter toutes mes excuses en personne. - Parfait, je suis chez moi, tu peux venir, me répondit-elle. Avant de partir, je glissai dans ma poche, une petite fiole, contenant une puissante drogue, liquide, incolore et inodore, c'était l'arme parfaite pour ce que je désirais faire. Arrivée chez elle, je sonnai trois coups, elle m'ouvrit et me fit entrer. Je lui proposai d'enterrer la hache de guerre en buvant un verre. Loin de se méfier, elle me toisa et me fit m'asseoir dans son salon. Elle revint avec deux verres à la main, le mien contenant du sirop, le sien de l'alcool, sans doute pour marquer nos différences, je ne relevai pas. Elle s'assit à son tour, bien loin de moi. Nous levâmes donc nos verres et bûmes une gorgée. Soudain, son téléphone sonna, elle posa son verre, se leva et partit dans sa chambre. J'en profitai pour verser dans son verre une faible quantité de liquide, ne connaissant pas le bon dosage, je fis attention. Au bout de 5 minutes, elle revint, visiblement énervée et bu le reste de son verre d'une traite. La drogue ne fût pas longue à agir, ses yeux à présent fixaient le vide, aucune réaction au passage de ma main devant son regard ; j'avais les coudées franches. Je lui demandai si elle m'entendait, répondant par l'affirmative, je fus stupéfait du résultat, son esprit était entre mes mains. Je lui ordonnai tout d'abord de se changer, elle se leva et je l'accompagnai dans sa chambre à coucher. Elle commença par son chemisier puis défis sa robe, la laissant glisser sur le sol, il lui restait encore ses collants, un slip et son soutien-gorge. Elle les quitta sans attendre et se retrouva nue devant moi, ses tétons dressés par le froid. C'était la première fois que je la voyais toute nue et c'était magnifique. Elle avait une toison bien fournie, des seins plus gros que je ne l'imaginais et qui malgré leur taille respectable, ne pendaient pas. Je lui indiquai ce qu'elle devait mettre et lui dis de m'attendre une fois terminé l'habillage. Moi pendant ce temps, je rentrai chez moi prendre la caméra numérique de mon père. De retour, je la trouvai debout, habillée comme je le voulais, une robe sage lui tombant juste au-dessus des genoux, un chemisier noir transparent et des jolies mules. Je soulevai la robe afin de voir le reste. Un porte-jarretelles blanc soutenait des bas brillants de même couleur. Comme spécifié, elle ne portait pas de culotte ni soutien-gorge, on devinait donc à travers le fin tissu de son chemisier, ses tétons fièrement dressés. Mettant la caméra en marche, je commençai à enregistrer. - Couche-toi sur le lit, lui demandai-je. Elle s'exécuta, pareil à un automate, je défis mon pantalon et vérifiai une dernière fois la caméra. En face d'elle, j'écartai ses jambes, de part et d'autre de son lit. Je remontai un peu plus sa robe afin de dévoiler son pubis et lui intimai de se masturber. De sa main droite, elle commença à se toucher, son index titillant son clitoris. Quelques gémissements commençaient à sortir, son autre main entourait à présent un de ses seins, emprisonnant entre l'index et le majeur un des ses tétons, à travers le tissu de son chemisier. Les lèvres de son sexe, s'ouvraient de plus en plus, maculées de mouille. Moi de mon côté, je me masturbais tout en la filmant, zoomant tour à tour sur son sexe et son visage pour revenir sur un plan plus large. Je finis par poser ma caméra pour prendre la suite. Je lui ordonnai de se retourner, sa tête posée sur l'oreiller, son cul tendu, ses jambes écartées. Je lui soulèvai sa robe et la remontai sur ses fesses, son sexe…

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MERCREDI 4 JANVIER 2006

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