Deux vierges

Ceci est une histoire vraie qui s'est passée l'été dernier. Je me présente tout d'abord, je m'appelle François et j'ai 19 ans. Je louais un petit appartement avec un copain dans le sud de la France près de la mer. Il était à ce moment parti voir de la famille plus au sud, à Perpignan, et moi-même je recevais une jeune cousine du nord de la France pour une semaine. L'appartement, à côté, hébergeait une jeune fille qui s'était, je dois dire, fort attaché à ma personne. Un soir où sa mère devait partir, elle me demanda pour venir regarder la télé chez moi. Nous regardons donc le film du soir sur la canapé, ma cousine, elle et moi. Puis viens la fin du film, j'ordonne à ma cousine d'aller se coucher, elle va alors se dormir dans notre petite chambre où l'on a étendu des matelas sur le sol. Je la suppose en train d'enfiler sa chemise de nuit comme tous les soirs, en ayant gardé sa culotte et son soutien-gorge qui ne sert pas à grand chose vu qu'elle n'a presque pas de poitrine. Si je sais tout ça, c'est que la nuit quand elle dort, je m'amuse à passer la main sous sa chemise de nuit et je la pelote. Jusqu'ici, je ne l'ai que masturbé un peu tout en lui massant les seins mais c'est tout. Dès qu'elle bouge, j'arrête, de peur qu'elle se réveille. Je reste donc avec ma jeune compagne Marianne qui commence alors à se presser de façon très peu discrète contre moi. Allumé par ses intentions, je me tourne vers elle et sans rien dire, je l'embrasse fortement puis je la fais passer sur mes genoux. Je la caresse dans le dos, puis mes mains plongent dans son short et je lui écarte les fesses. Elle sursaute un peu mais me laisse faire, je devine qu'elle est vierge et sans expérience sexuelle. Mais que je ne sens aucune résistance de sa part. Tout en continuant à l'embrasser fougueusement, je commence à attaquer son tee-shirt qui propose une lourde poitrine puis je m'attaque au soutien-gorge. Ses gros seins tombent alors, j'abandonne sa bouche pour m'attaquer à ses seins où je prends bien mon pied, puis en continuant de sucer les nombreux cm² de sa poitrine, j'enlève son short et sa petite culotte. Je remarque avec le plus grand bonheur qu'elle est épilée. Je décide de me désabiller un peu à mon tour, en enlevant mon caleçon, ma queue vient se placer dans la raie de ses fesses et reste bien sagement là. Je continue donc encore un peu à l'embrasser, pelotant ses fesses mais je me rends vite compte, au durcissement de mon sexe, qu'il va falloir passer à la phase 2. L'appartement est très petit et le canapé n'a pas été prévu pour ce genre de situation. Il va falloir bouger mais à part par terre, je ne vois pas où on peut aller. Sinon dans la chambre. Allez, tant pis pour la sainte nitouche de service, je lui dis qu'on va dans la chambre, elle me répond qu'il y a ma cousine et je lui rétorque que je m'en fous. Nous nous levons donc doucement, tout les deux, nus, nous dirigeant vers la chambre. Lumière éteinte, ma cousine dort. Nous nous glissons doucement sur le matelas à côté d'elle. Marianne avance à quatre pattes dans la pénombre, je me dirige vers elle et je ne sais pas pourquoi mais la position de cette dernière me donne une envie de l'enculer. J'avance donc doucement derrière et l'arrête en posant mes mains sur ses hanches. Je m'apprête à la pénétrer par l'arrière mais elle se retourne et s'allonge. Tant pis, de toute façon, sans préservatif c'est pas le pied, elle écarte doucement les jambes et je la pénétre très lentement pour bien profiter. Je suis à quatre pattes au-dessus d'elle puis je m'allonge sur son corps et je trouve sa bouche, ses seins. Je commence mon mouvement de va-et-vient et elle gémit de bonheur. On commence à transpirer, elle gémit de plus en plus fort, je suis crevé, je la fais pivoter pour qu'elle passe au-dessus et la redresse. Elle est tout d'abord assez maladroite puis prend ensuite ses marques et le mouvement devient plus coulant. Un léger mouvement la soulève et la remet en place, le mouvement s'accélère, elle se baisse et je suçe ses seins vraiment beaux, c'est là qu'elle commence à jouir et pousse des cris de…

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LUNDI 12 JUIN 2006

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