LA VOISINE SUR SON BALCON

Je travaille de temps en temps à la maison. Bien agréable en fait. Nous (je suis marié) avons une voisine de pallier que nous n'avons jamais frequenté. Bonjour. Bonsoir. Rien de plus. Son appartement jouxte le nôtre. Un jour de juin (l'année dernière), j'étais à la maison et comme l'envie de travailler était inversement proportionnelle à la température extérieure, j'avais du mal à me concentrer. Alors, je m'arrête quelques minutes et décide de prendre l'air sur notre balcon. J'ai dû être discret pour rentrer sur notre balcon car ma voisine, qui était allongée nue sur son balcon, ne bougea pas du tout. Étonné d'abord de ce spectacle à moins de 3 mètres de moi, je devins rapidement voyeur. Je restais là à la regarder en essayant de me cacher derrière tout objet me dissimulant un tant soit peu. Elle était allongée sur sa serviette, cachée de la vue des immeubles alentours par la rambarde de son balcon. Je pouvais voir ses fesses si belles, bien rebondies. Une cambrure de rein incroyable. Je n'avais jamais imaginé ma voisine comme ça ! Le soleil caressait son dos, ses reins, ses fesses. La finesse de ses hanches m'excitait à un plus haut point. Je commençais deja à bander. Elle bougea légèrement comme pour se frotter l'entrecuisse sur sa serviette. Je bandais de plus en plus fort en espérant apercevoir sa toison que j'imaginais brune et touffue (au vue de sa chevelure). Pour mon bonheur, elle se retourna lentement (avait elle senti ma présence ??). Et là, sur le dos, elle se laissait carresser par le soleil. Ces rayons de soleil qui baignaient sa poitrine, son ventre si plat, son sexe qui n'était pas du tout touffu, mais bien dessiné (genre ticket de métro) et coupé court, presque ras. On pouvait deviner ses lèvres fines dessinant une vulve si acceuillante. Une vision de rêve. Je matais cette superbe fille que ne n'avais jamais remarqué. Et là, je fantasmais comme un fou. Mes yeux ne pouvaient plus se détacher de son sexe. Les jambes très légèrement écartées et le genou à peine fléchi, les lèvres s'écartaient légèrement pour ouvrir ce temple de l'amour qui avaient l'air si confortable. Les poils coupés, couvraient délicatement cette vulve qu'on avait envie de renifler, de lécher. Elle bougeait tendrement les hanches, ce qui semblait ouvrir un peu plus sa chatte. Mon sexe devenait très, très dur. J'avais du mal à réprimer une envie de branlette. Puis… J'ai fait un geste de trop, un bruit de trop. Ma voisine se retourna bruquement et, de ses mains, cacha ses seins et pris un air réellement effarouché. C'était l'occasion rêvée. Je lui demandai : - Pourquoi cacher vos seins si beaux ? - Mais parce que que vous me matez… - Oui, mais vous avez un si beau corps. Je suis heureux de pouvoir le découvrir. Laissez-moi encore vous regarder. S'il vous plaît ??? Je n'aurais pas imaginé qu'elle obéirait. - Mais alors vous regardez… Vous ne touchez pas ! Une torture ! Mais si douce torture… - Volontiers… Elle se recoucha tranquillement et sans un mot, remonta ses genoux, écartant un peu les jambes. Elle me laissa la regarder de loin sans le droit de la toucher. Ses mains passant sur son ventre et de l'index, elle se caressa la vulve. Sexy. Sexy à en mourir. Je ne pouvais que regarder, un muret entre nous. Elle passa sa main sur sa vulve, écarta les lèvres de sa chatte avec deux doigts d'une main. Puis, avec le majeur de l'autre main, caressa cette petite bosse qui cache le clitoris. Elle le massa tendrement, lécha son doigt, retourna sur son clito. Son doigt caressa, tourna autour de son clitoris, entre ses lèvres, pénétra dans son vagin lentement. Sa respiration était plus saccadée, plus lourde. Pendant que son majeur allait et venait entre ses lèvres, elle se modilla l'index de l'autre main. J'étais le spectateur unique de cette scène. Excité comme un adolescent, j'allais exploser, mon sexe me faisait de plus en plus mal. Rien à faire, elle continua son manège et m'offrit le plus affolant spectacle dont on puisse rêver : une belle fille se caressant devant vous. Elle poussa de légers cris, étouffés qui manifestaient son excitation et son plaisir. Son doigt allait et venait de plus en plus profondément. Mouillé, il ressortait de son vagin et massait son clitoris. Elle jouit. Et moi aussi, sans me caresser. Elle s'étira sur sa serviette et en se retournant sur le ventre, me

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JEUDI 17 JUIN 2010

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