LA VOISINE DE SOEURETTE

Je t'aperçois seule, sortant de la voiture, les bras chargés de provisions. J'étais venu rendre une visite à la maison juste à côté de la tienne. T'apercevant embourbée sous le poids de ton épicerie, je m'offris pour t'aider jusqu'à la porte. Tu me remercias pour cette généreuse attention. Je te demandai si la demoiselle d'à côté se trouvait habituellement chez elle à cette heure. Tu me répondis que tu ne connaissais pas les faits et gestes de ta voisine. J'ai eu l'air contrarié par ta réponse. Je t'ai appris que j'avais fait une longue route pour la voir. Me trouvant à la fois intriguant et séduisant, tu n'avais guère envie de me voir partir semble-t-il. À tout hasard, tu me proposas de venir chez toi pour l'attendre. -Je crains de vous déranger, te répondis-je, je vais plutôt l'attendre dans son entrée. Il faisait un temps superbe. Avec insistance, tu revins à la charge, me proposant un verre pour me rafraîchir et pensant que j'allais peut être acquiescer. Comment savoir ? Et cette fois, j'acceptai ! Sirotant un jus de fruits que tu m'avais longuement préparé, je t'appris que la voisine en question était ma sœur et que ça faisait un bon moment que je ne l'avais vu. Cette confidence sembla t'arracher un certain sourire. Puis je me mis à te raconter les différents pays que j'avais visité pour les besoins de mon travail. Je ne m'en rendis pas compte mais tu mouillais comme une dingue, enfoncée comme moi dans un fauteuil, non à cause de mes récits mais à cause d'un certain charme, de cette désinvolture qui me caractérise et qui jouait vraisemblablement sur ta sensibilité. Tu profitas de l'occasion pour me poser la question suivante : - Trouvez-vous difficile d'être privé de femmes aussi longtemps à cause de vos longs voyages ? Question qui était accompagnée d'un coup d'œil à la fois indiscret et ironique. Au lieu de te répondre, je t'ai simplement sourit. Tu remarquas mon regard s'abaisser pour la première fois sur tes jambes nues et ta jupe, dans la position où tu étais, qui ne cachait que le tiers de tes cuisses. Tu les tenais sagement serrées, voyant que la seule vue de tes jambes me produisaient un tel effet. Après une hésitation, tu les ouvris lentement, devenant carrément impudique, même obscène. C'était risqué ! J'aurais pu ne pas apprécier ce genre de gestes dignes d'une perverse. Mais tu avais misé juste puisque mes yeux clairs plongèrent entre tes membres écartés et restèrent rivés à la tache sombre de ta culotte camouflant ton sexe. Profitant de cet ensorcellement, tu te soulevas les fesses délicatement pour te débarrasser de ton sous-vêtement mouillé que tu lanças en ma direction. Je l'attrapai au vol, fixant les taches de ton liquide odorant pour ensuite m'attarder sur ta chatte que tu m'exhibas sans aucune retenue. L'attirance de ton sexe m'arracha de mon siège et je vins me placer devant toi. Dans cette position, mon pantalon te dessinait comme une image floue de ma verge tendue. Je t'admirai ainsi l'espace de quelques secondes encore et te demandai autoritairement de te retourner et de bien me faire voir ton derrière. Tu acceptas avec plaisir. M'accroupissant devant un tel spectacle, je me chargeai de trousser ta jupe et commençai à te peloter longuement et fortement. Tu étais toute trempée et folle de désir. Mes mains effleuraient ta vulve, ton clito, ton anus mais je ne te pénétrais pas ni ne te masturbais. Ces attouchements, je le voyais bien, exacerbaient ton désir et aiguisaient ton impatience. Affalée comme tu l'étais, ton intimité toute offerte et béante, tu me supplias de te donner ce plaisir que tu ne pouvais plus contenir. Mais je refusai d'obtempérer pour te conduire encore plus loin. Te torturer de mes caresses par de fréquents passages de mes doigts entre tes grosses lèvres, par de petites pressions sur ta rosette ainsi que de légers frôlements sur ton bourgeon durci. Je me régalais de la simple vue et du toucher. Puis enfin, j'ai décidé de te goûter. Ma langue s'appliqua à lécher la lisière inondée de ton vagin pour ensuite se mettre à agacer ton anus timidement puis revint s'engouffrer dans ta chatte pour l'explorer d'un index vicieux. Je perforai en même temps ton orifice supérieur. Tu haletais, tu gémissais sans retenue, ton bassin ondulait sous cette double pénétration qui t'électrisait si bien. Cette jouissance sans pareille t'amena à jouir contre ma bouche et moi je m'abreuvai de…

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JEUDI 28 JUIN 2007

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