VOL LONDRES-PARIS

Samedi 22 juillet, vol Londres-Paris. Je n'aurais jamais pensé, en m'asseyant près d'elle, que cette flamboyante rousse aux yeux verts, allait devenir mon amante et que je vivrais une folle passion pour elle. C'était une artiste, à la fois peintre, photographe, écrivain et qui vivait sur une péniche accostée sur les bords de la Seine. Elle s'appelait Karine, elle était habillée de cuir, de la tête aux pieds, une tenue sexy très moulante. Par la suite, j'ai découvert, avec un plaisir étonné, que ses dessous étaient également en cuir : un ensemble string, porte-jarretelles et soutien-gorge qui lui allait à ravir et qui la rendait totalement irrésistible. De mon côté, ce fut ce qu'on appelle le coup de foudre. En fait, je savais déjà. Je savais qu'elle aimait les femmes, je savais qu'elle prenait plaisir à les dominer ; tout cela, je l'avais deviné dans son regard, dans sa manière de s'adresser à moi, de me parler, de fixer mes yeux… On appelle ça, l'intuition féminine, je crois. Et j'étais d'accord. Prête à la suivre n'importe où, vers n'importe quel chemin ! J'étais déjà à elle bien avant d'atterrir à Orly. Elle aussi, avait tout compris de moi et de mes émois… Elle ne m'a pas laissé le choix, une fois débarquées. Je l'ai suivie dans son taxi et nous nous sommes engouffrées dans sa péniche. Nous y avons fait l'amour tout de suite. Elle avait juste pris le temps d'écouter ses messages sur son répondeur téléphonique. Au début, elle s'est montrée assez câline. Elle nous avait installées dans une sorte de boudoir et, après avoir ouvert une bouteille de champagne, elle m'avait complètement déshabillée puis examinée, tournant autour de moi et faisant des commentaires sur mon corps. Tout en me regardant et en me touchant, elle me posait de nombreuses questions sur ma vie privée, mes expériences, sur ce que j'aimais faire avec les hommes ou les femmes. Je me souviens qu'elle avait plaqué une main sur mes fesses, et m'avait demandé : - Par là aussi, tu aimes être prise par les hommes ? L'un de ses doigts s'était insinué entre mes fesses et était venu titiller mon petit trou. Devant ma réponse affirmative, elle avait ajouté : - Il vaut mieux pour toi. J'adore enculer les femmes. Ça m'excite. J'ai tout ce qu'il faut pour m'occuper de toi, tu verras… Elle avait fini sa phrase en forçant le barrage de mon anus avec son index. Insensiblement elle était devenue plus autoritaire, plus sèche. Elle me tournait autour comme une tigresse qui guette sournoisement sa proie. Moi, j'étais déjà toute mouillée d'excitation. Karine me fascinait complètement, j'étais sous le charme. Soudain, elle a fait couler un peu de champagne sur le bout de ses seins et elle m'a ordonné de les lécher. Au contact du liquide glacé, ses deux tétons se sont érigés, formant deux grosses pointes brunes et tendues. Obéissante, j'ai sorti ma langue alors que Karine me tendait un à un ses gros seins en les pressant dans ses mains. Elle me demandait de la lécher entre ses doigts puis, de téter ses pointes en les aspirant entre mes lèvres. Ce jeu semblait autant l'amuser que l'exciter. Au bout d'un moment, elle s'est allongée sur un grand canapé. Elle s'est emparée de nouveau de sa coupe et a fait couler du champagne sur son ventre et sur son sexe roux en m'ordonnant encore : - Allez, vicieuse ! Lèche-moi là où je suis mouillée. Dépêche-toi de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue ! Comme un petit chat docile, je suis venue laper chaque goutte du liquide qui s'était répandu sur son ventre plat jusqu'au milieu des cuisses fines et musclées. Son sexe sentait très fort et c'est elle qui me guidait à bien presser ma langue sur sa fente et dans les poils bouclés de son pubis. Des deux mains, elle maintenait mon visage au bon endroit, et au milieu de ses gémissements qui montaient, elle perdait peu à peu la tête et m'insultait : - Oui, c'est ça, petite garce ! Mets-moi bien ta langue de cochonne là où ça me fait du bien. Je vais te dresser, t'apprendre à me faire jouir comme j'aime ! Plus je la léchais et plus je commençais à perdre la tête, moi aussi. Avec mes doigts, j'écartais largement ses lèvres gonflées pour pénétrer sa chatte le plus profondément possible. Le plaisir rendait Karine encore plus crue. Elle me…

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DIMANCHE 27 AVRIL 2008

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